Dans cette étude de l’Université d’Harvard, Yochai Benkler et ses collègues décortiquent ce qu’ils interprètent comme étant une campagne de désinformation initiée par des élites du Parti républicain.
Pour comprendre au mieux ce qui se joue aujourd’hui à propos des fake news et de la désinformation, la Fondation Descartes met à disposition de tous un résumé des principales publications scientifiques dans ce domaine. Sans être exhaustifs, ces résumés permettent de se faire une idée de la recherche actuelle, des problématiques traitées et des principaux résultats obtenus. Ces résumés permettent aussi d’instruire le débat public et de démonter, le cas échéant, les idées reçues qui ont cours dans le domaine de la désinformation.
Ces résumés d’articles abordent parfois des questions techniques. Le choix a été fait de ne pas masquer la difficulté mais de donner un maximum de clés de compréhension pour que toute personne intéressée par le sujet puisse en comprendre le fond et se familiariser avec les outils de la recherche scientifique. Les résumés d'articles que nous vous proposons sont donc aussi une occasion, pour celles et ceux qui le souhaitent, d’avoir un aperçu des pratiques et méthodes de la recherche scientifique en sciences sociales.
Dans cette étude de l’Université d’Harvard, Yochai Benkler et ses collègues décortiquent ce qu’ils interprètent comme étant une campagne de désinformation initiée par des élites du Parti républicain.
L’objectif cette l’étude est double : (1) évaluer l’évolution de l’attitude des Danois envers l’immigration ; (2) déterminer si cette attitude est influencée par leur consommation médiatique, en particulier de médias sociaux.
L’objectif de cette étude est d’évaluer si les discours de haine sur les réseaux sociaux influencent la manière dont les internautes perçoivent les groupes qui en font les frais.
Les auteurs de ce rapport notent l’existence d’un lien fort entre toxicité des discussions autour de l’épidémie de Covid-19 et l’empirement de la situation sanitaire après le 26 mars 2020, l’intensification des critiques de la part des dirigeants politiques, et le traitement médiatique du rôle joué par l’OMS dans la gestion de la pandémie.
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