Dans le cadre d’un projet conjoint du DFRLab et de l’Associated Press, un rapport examine la manière dont quatre pays – la Chine, les Etats-Unis, la Russie et l’Iran – se sont mutuellement accusés d’être à l’origine du virus de la Covid-19.
Dans le cadre d’un projet conjoint du DFRLab et de l’Associated Press, un rapport examine la manière dont quatre pays – la Chine, les Etats-Unis, la Russie et l’Iran – se sont mutuellement accusés d’être à l’origine du virus de la Covid-19.
Ce rapport retrace l’histoire des mécanismes de lutte contre la désinformation mis en place par les principales plateformes numériques (Facebook, Google, Tik Tok et Twitter) entre janvier 2020 et février 2021.
Selon une enquête réalisée par The Markup, les labels censés indiquer les informations douteuses ou erronées sur Facebook ne sont pas toujours adéquats.
Les résultats indiquent que 87% des liens d’actualité partagés sur le réseau social Parler provenaient de sources publiant fréquemment de fausses informations.
Selon ce rapport de GLOBSEC, qui couvre les résultats de sondages d'opinion réalisés dans 9 pays d'Europe centrale et orientale et des Balkans, plus d'un tiers des personnes interrogées croient aux théories du complot liées à la COVID-19.
Dans ce rapport, Newsguard fournit des données et des exemples démontrant que des recettes publicitaires provenant de grandes compagnies, telles qu’American Express ou Disney, ont financé de la désinformation sur les réseaux sociaux à l’origine des événements du Capitole aux États-Unis.
L’organisation de notation des médias Newsguard publie un rapport sur les 10 sources de désinformation et les 10 sources jugées fiables qui, en 2020, ont produit le plus d’engagement sur les réseaux sociaux en France.
L’ONG belge EU DisinfoLab a enquêté sur les méthodes douteuses employées par un réseau indien pour influencer les décideurs européens.